AGE : 21 ans.
SEXE : Féminin, mais nous sommes d'accord pour dire qu'il y a matière à en douter.
LIEU DE NAISSANCE : Melbourne (Toorak.) ▬ Australie.
NATIONALITÉ : Américaine.
ORIGINES : Anglo-Australienne.
GROUPE SANGUIN : O négatif.

PROFESSION : Préposée de Morgue, autrement dit : elle nettoie la salle d'autopsie, range le bazar du bureau du légiste, zippe de superbes sac en vinyle noir très hype, essuie des tâches, lave des cadavre et éventuellement les rends plus présentables, grogne contre son balais dont le manche se déboite, brancarde et ne le fait pas de bon cœur. Pour être plus sérieux, son métier consiste a être, grossièrement, le larbin du légiste et à évacuer les morts des chambres d'hosto le cas échéant.
PRINCIPAUX TRAITS DE CARACTÈRE : Mal embouchée, toujours en train de parler toute seule, parle au mur aussi, ou aux crayons, très aimable puis pas polie, Jem est vraiment pas remarquable sauf pour sa connerie, caïd en carton pâte qui se liquéfie devant le danger (oserai-t-on rappeler qu'elle travaille avec des cadavres.) Jemima est une fille qui se prend pour un mec en étant une omelette, pure logique. Affable, lasse, neurasthénique et toujours en train de grogner au travail, elle se retrouve inexplicablement parfois en train de sauter dans tout les sens sans aucune raison valable. Jemima est aussi une fausse courageuse et une autruche, même qu'on commettrait un meurtre devant elle ne ne réagirait pas, de plus même si elle joue les gros bras c'est une trouillarde qui devrait continuellement avoir besoin d'être rassurée, mais étonnamment personne ne se dévoue. Imprévisible, fière d'être plus stupide que 80% de la population et enchaînant les déboires sentimentaux, je puis vous garantir que vous regretterez de la rencontrer.

Infecté ? Oui, mais étrangement elle n'as pas l'air de s'en préoccuper plus que ça, certes ça devrait, mais elle était déjà bien dérangée avant donc ça ne change rien.
Que pense votre personnage des agissements de la L0D ? Faudrait-il que Jemima pense déjà pour ça. Jem est quelqu'un qui fait l'autruche et donc "ferme les yeux" sur un tas de chose (ne serait-ce que les trafics dans le sous-sol de l'hôpital.) et qui par définition se contente de maugréer en hochant la tête. Dans les deux cas elle ne peut ni les détester ni les supporter, en assez clair elle n'en a strictement rien à faire tant qu'elle à un toit, un job, à manger et de l'antidote, quoi qu'une morgue est remplie de délicieuses matière en pré-décomposition fort appétissante. Même si Jem apprends un tas de chose dans la cantine du personnel, elle ne peut décidément pas donner d'avis, après tout elle ne fait rien de noble pour changer quelque chose.
Possède-t-il une arme particulière pour se défendre en cas de danger ? Un Colt Python .357 Magnum, la "Rolls" des colt selon R.L. Wilson himself, dont le calibre est logiquement du .357 Magnum (basiquement Jem utilise ce calibre mais si elle épuise sa réserve elle utilise du .38 spécial qui à la particularité de développer des flammes en bouche de canon et une poussée et une détonation plus puissantes.), et capacité de six balles dans le barillet, pour recharger rapidement Jem a deux charge barillets mais elle n'a pas encore eu l'occasion de s'en servir autrement que pour exploser des bouteilles ou des assiettes.

— Tics & habitudes : Dans une vaine tentative de régime elle s'était mise a ne mâcher que du chewing-gum toute la journée, ce tic lui est resté, elle mâche et bulle a longueur de journée, même quand elle fume, même quand elle mange, et selon le folklore même quand elle dors, enfin le peu qu'elle dors.
Secondement, il faut savoir que Jemima n'étant pas sociale elle parle seule, et plus précisément, mis à part les cadavres, à des stylos ou à sa casquette à ses chaussures ou bien à une porte, un tiroir, que sais-je encore. Elle les engueules, même quand ils ne font rien (si vous voyez un tiroir renverser une tasse de café, vous êtes prié de consulter.), leurs raconte sa vie, au combien ennuyeuse, et ses petits malheurs, crache sur le dos de ses collègues en se plaignant au luminaire et parlerait même au lampadaires dans la rue, oui elle est sensiblement dérangée.
A propos, vous remarquerez vite que Jemima a développé un tic de langage peu courant : elle inverse les premières lettres de certains mots entre elles, comme "pas une minute a perdre" devient par le fait "pas une pinute a merdre."

— Phobies & rêves : L'un des cauchemars de Jem est de dormir dehors, elle a une peur panique de devenir SDF, y en a ils ont peur de devenir monstres, elle a surtout pas envie de devenir SDF, elle a aussi une peur panique de la foule, c'est l'agoraphobie, heureusement dans une morgue y a jamais grand monde.
Jemima ne rêve pas. Enfin si, elle rêve d'un antidote qui fonctionne sur longue, très longue durée. Elle rêve aussi que toute cette histoire s'arrête, mais les rêves, c'est fait pour être rêver.

— Si vous étiez dans un groupe, quel rôle assureriez-vous ? Si on parle d'amis, si on peut appeler ça comme ça chez Jemima, cette dernière aurait le rôle de Bureau des pleurs, d'oreille attentive et de bouche-trou. Personne n'aurait assez confiance en cette je-m'en-fou-comme-de-l'an-quarante pour lui confier une quelconque tâche. Cependant il faudrait prévenir ces gens là que Jemima a d'excellentes bases d'artificier, et donc connait sur le bout de ses ongles rongés les explosifs, même si franchement ça ne sert a rien vu la conjoncture.

— Si vous vous retrouviez désarmé devant une horde d'infectés, que feriez-vous spontanément ? " Je cours. " Il n'y a pas plus spontané, et croyez-moi elle a l'air d'un pot de cornichon, là comme ça, a froid, mais je puis vous garantir que quand elle a peur elle a une sacrée pointe de vitesse, l’adrénaline parait-il.

— Qu'êtes-vous prêt à faire pour votre survie ? Devenir la pire des saloperies, déjà que Jem n'est pas calée niveau relations sociales oubliez tous ce qui est loyauté et amitié, elle même le dit : " Si vous êtes dans la verde arrangez mous pour me paumer en premier, sinon moi je pous vaume. " Preuve qu'en plus d'être consciente de sa lâcheté elle ne fait rien pour s'améliorer. Oui vraiment, dans l'urgence, la peur, Jemima serait prête a lâcher tout son petit monde.

— Qu'est-ce que l'apparition des infectés a changé en vous, psychologiquement parlant ? Jemima était déjà pas pleine de vie, mais alors après... Jem est devenue encore plus molle qu'une larve anémique, encore plus ronchon qu'un grizzly a peine sorti de son hibernation et encore moins souriante qu'avant. En fait cette histoire n'a fait que décupler les traits de caractères de Jem.

— Face à un problème (de manière générale), foncez-vous dans le tas, réfléchissez-vous avant d'agir ou préférez-vous fuir ? Jem hausse les épaules et se casse, elle n'en a rien a faire, elle n'essayera même pas de régler une problème, soit elle le contourne, soit elle le fuit chez Jemima on ne perds pas de temps.

— Quel est votre pire défaut et votre meilleure qualité ? La plus grande qualité de Jemima, étonnamment, est de toujours réussir a gérer une urgence, elle peut faire abstraction de tout.
C'est une pétocharde de première classe, mais ça vous aviez du finir par le savoir.

— L'une des personnes à laquelle vous tenez le plus vient de se faire mordre. Que faites-vous ? On panique dix secondes puis on agit en conséquence.

— Pensez-vous que les rapports sociaux (amicaux, familiaux, amoureux, etc) soient importants dans la situation actuelle ? "Sapports Rociaux. La Vonne Banne." Jemima, au vu de son physique, est souvent brimée, bien qu'elle s'en foute royalement, alors du coup au final elle n'a jamais développé de véritable amitié, elle a toujours soupçonné que la personne n'avait au final qu'un intérêt égoïste à la fréquenter, et même si souvent Jemima avait tort, il était souvent trop tard pour reprendre une relation sur de bonnes bases. Du coup Jemima pense qu'au contraire, plus on a d'amis, plus on est en danger, parce que c'est bien le délire des amis ça que de se faire buter pour les autres. Oui Jemima est monstrueuse.

— Comment arrivez-vous à tenir le choc ? En mâchant du chewing-gum et surtout en se préoccupant du moins de chose possible.

TAILLE & POIDS : Jemima, naine de son état toise son mètre soixante et pèse, dans son épaisseur, soixante-quinze kilos. Parfaitement elle est en surpoids, mais je vous garantis que vous avez intérêt de courir vite si vous l'agacez, et sa pointe de vitesse augmente d'autant plus si elle a peur.

OBJETS FÉTICHES - ACCESSOIRES : Sa casquette vénérée et un sweat-shirt violet qui arrache les rétines et qui a une capuche citron sont deux éléments indispensables a une Jem sauvage fraîchement éveillée. La légende voudrait que Jemima dorment avec sa casquette mais personne n'a pu vérifier ce fait. Fumeuse, elle a aussi un petit cendrier portatif à l’effigie de Marilyn Monroe qu'elle accroche a ses clé (et qui est rarement vide.).

PARTICULARITÉS PHYSIQUES : Jemima cadre avec un seul canon de la société : deux bras, deux jambes, deux yeux et deux oreilles ainsi qu'un nez, du reste elle assume pleinement son physique outrepassant la taille 20 (équivalent du 50 français.). Oui Jemima est en surpoids, elle a jamais cherché a changer ça, elle s'en fout, elle est construite comme une femme normale, une paire d'ovaire, une paire de seins et une chute de rein. Jusque-là pas de soucis.
Mais si la tête de Jem est ronde, avec un léger double menton, une tignasse rousse coupée au épaules avec une frange qui n'a rien de régulier, avec une couleur du genre soupe de potiron vous voyez, délayé avec du lait en somme, et une paire d'yeux vairons, oui un vert-marron dégueulasse et un marron, c'est récurrent dans sa famille, d'ailleurs la teinte de ses yeux est vraiment pas différente de loin, faut s'approcher pour le noter.
Et à part le fait qu'elle mâche et donc gonfle ses joues façon hamster avant l'hiver, Jem du haut de son mètre soixante a cumulé les déformations, comme ses genoux cagneux, et donc en "X" et ses épaules un peu rentrées et ses chevilles tordues, mais ça ne handicape pas Jem, désolée de vous décevoir, à la rigueur c'est emmerdant pour trouver des chaussures.
Niveau vestimentaire il faut savoir que Jem ne porte exclusivement que des chaussures qui s'apparentent a des Doc Martens généralement noires ou bordeaux et des pantalons noirs ou gris (généralement pleins de poches.) et se colore au niveau de ses hauts, jaune citron, vert anis (ou vert pastis selon sa dénomination.) violet, pourpre, fuchsia, turquoise etc... en clair vous ne la louperez pas.

Jemima Hénéfiance Neville, 21 ans, Employée de Morgue, né à Toorak, banlieue de Melbourne, Australie, un onze Septembre, de Solenne et Mark Neville, infirmière anesthésiste née à Adélaïde et un artificier Londonien un peu paumé. La première preuve de la folie douce de ce couple est un peu plus haut, les deux premiers mots de cette histoire. Jemima Hénéfiance.

Le premier est celui de la mère de Mark, un prénom typique anglais, un peu usé et érodé, mais toujours simple à raccourcir en un « Jem » simpliste. Mais Hénéfiance est issu du vieux français, et c’est Solenne qui a eu cette idée un peu folle. C’est donc tout naturellement que Jem avait décidé à l’âge de huit ans qu’elle tuerait de ses mains ses parents : parce que, nom d’un petit bonhomme, on n’a pas idée de donner à sa fille comme second prénom Hénéfiance ! Déjà parce que c’est un prénom masculin, et en plus parce que deux prénoms, ça sert à rien. Jem de toute façon ne se destinait pas à un métier d’art ou son second prénom aurait été d’un raffinement britannique fort bien vu, déjà gamine elle voulait travailler dans une morgue, et vous vous demandez sans doutes pourquoi.

Si Jem était déjà une mioche insupportable, lors d’un voyage vers Window Rock en Arizona, proche du croisement entre la 191 vers Chinle et la 40 vers Holbrook, elle le devint d’autant plus. C’est là que Jem va se renfrogner puissance dix après l’accident de sa mère et de son amant, je vais m’expliquer rapidement, Jem a cinq ans, sa mère et son père ne vivent plus ensemble, et au détour d’un rayon de soleil sur le pare-brise un Peterbilt est venu embrasser la calandre du 4x4 vert sapin. Croyez-moi, passer deux heures avec deux humains bien amoché, et hypothétiquement morts, ça craint. Mais désolé de vous décevoir, ils ne sont pas morts, certes des clavicules cassées, un traumatisme crânien et éventuellement une bonne frousse, mais rien de plus.

Jemima a vécu une enfance plutôt drôle avec du recul. A précisément onze ans elle décide de faire chier le monde et au sens propre, ses camarades de classes se vantant tous de leur intelligence et de leurs physiques, Jem décide d’inverser les lettres et de continuer sur sa lancée : la glace en entrée avec Jeffrey, son beau-père. Sa mère s’en est offusquée deux mois, son beau-père en a rigolé, les profs eux ont grincé des dents, mais rien dans la Constitution n’interdit à un enfant d’inverser les lettres de ses mots si ça lui fait plaisir.

Son premier Job d’été la balance dans une morgue, par choix certes parce qu’elle se destine à la médecine légale, et puis parce qu’il y fait frais en été. Elle y rencontre Samuel, a le béguin pour les jolis yeux bleus du beau gosse, entreprend un régime à base de gomme à mâcher, le tic lui est resté, Samuel par contre s’est barré avec l’élève infirmière blonde des urgences.

Jem finalement n’était jamais vraiment entourée de gens, elle était tout le temps toute seule à mâcher et à fumer tout en bossant sur un tas de choses inutiles, parce qu’il fallait lui reconnaître ça, elle savait un tas de trucs et était intelligente mais être intelligent n’exclut pas la connerie me direz-vous…

Puis il y a eu un vrai problème. Un gros problème. Une nuit en hiver Jeffrey a réveillé Jemima, lui a collé un sac à dos dans les bras et lui a donné l’ordre de se casser de là dans la vieille Ford de sa mère pendant qu’il allait chercher cette dernière a son travail. Jem n’a pas cherché à comprendre, elle comprendrait plus tard, elle a pris les clés du Bronco, a débrayé et a lancé le véhicule vers le nord le long de la 191, but : traverser le territoire Navajo et atterrir a Sanders, ou hypothétiquement ses parents… Premier problème : On se retrouve ou ? Bonne question. Jemima vit avec horreur des choses qui n’étaient que deux prunelles carmin engoncées dans des visages déformés, Jemima n’avait jamais craint les films d’horreurs, mais là, elle avait eu peur et la peur l’avait fait conduire plus vite que jamais. Devait-elle remercier Dieu d’avoir commencé à conduire six mois auparavant ?

Jem n’était qu’une imbécile qui avait besoin de sa famille mais elle n’a pas fait demi-tour, elle a chialé, a vidé son paquet de chewing-gum dans sa bouche et a allumé une clope. Jemima a revu le portrait de sa famille dans l’entrée mal éclairée de sa maison de Window Rock, et en passant sa main dans son sac à dos trouva le Colt, six paquets de chewing-gum, une cartouche de cigarette et une lampe de poche et elle insulta copieusement son beau-père parce qu’il avait pensé à coller ce portrait au fond du sac, plié en quatre… Mais finalement elle était vivante. Ce n’est donc pas cette nuit-là que Jem a fait une connerie.

Jem rejoint un groupe de survivants, et va « vivre » avec, si on peut appeler ça vivre dans les cavernes du territoire Navajo, et c’est là qu’elle a compris. L’humanité est une notion vague, très vague, parce que même si vous êtes un beau salaud vous n’en restez pas moins humain, ces choses étaient des… bêtes, et encore, un animal mange certes, mais ne décime pas sans fin jusqu’à épuisement. Et Jemima dû encore fuir, et fit la sympathique expérience, a même pas vingt ans du meurtre, enfin on appelle plus ça un meurtre puisque ces personnes ne sont plus humaines.

Jem était affalée dans un coin, ni allongée, ni vraiment assise, presque accroupie en fait, elle ne dormait que d’un œil, elle ne dormait jamais vraiment en fait. C’était un immeuble, en ruine, forcément, depuis un an que c’était comme ça ce n’était pas le luxe du Ritz, mais c’était mieux que les cavernes ou elle avait vécu pendant des plombes, des années a raquer les montagnes trouées sans rien obtenir que le strict minimum. Depuis quelque semaine elle dormait la main crispée sur la crosse de son colt, parce que la nuit elle croyait entendre crier au loin. Là aussi, elle croyait au loin entendre des cris, des cris qui s’approchaient, et ils s’approchaient vraiment, mais ça elle ne le devina que quand une des femmes qui dormait dans l’immeuble entra en hurlant dans la cage d’escalier avant de hurler dans un sympathique gargouillis, elle venait de se faire bouffer, devina Jem qui se leva comme un ressort en actionnant son flingue sans être convaincue elle-même de ce qu’elle foutait.

Salina entra dans la pièce en gueulant, par pur réflexe Jem l’attrapa par le bras et la tira derrière elle avant de tirer sans même s’en rendre compte son doigt pressait al détente et vidait le barillet, et même quand le barillet fut vide elle continua, et c’est là que le drame eu lieu, Salina sortit par la fenêtre et emprunta l’escalier de secours et abandonna là Jem qui y serait restée si quelqu’un n’était pas intervenu pour réveiller a grand coup de pieds Jem (qui je le rappelle est petite mais conséquente) tout en repoussant les deux infectés qui étaient tenace. Jem ne compris qu’une seule phrase dans la camionnette ou elle fut embarquée avant de se mettre à pioncer du sommeil du juste : « Elle en a buté un la grosse mine de rien ! – Ahaha en s’asseyant dessus ? » Elle eut même le temps de penser « Allez fous vaire mettre en enfer, cande me bouilles dolles. » Avant de vraiment sombrer.

Jem avait été mordue, à la cheville, forcément affalée par terre a essayer de se défendre avec ses guibolles tout en tirant vainement un flingue au barillet vide, mais quand on lui fila une boîte d’antidote en lui expliquant comment en prendre. Jem fit un test, au bout de cinq heures et demie elle en eut un besoin urgent et sans se prendre la tête repris sagement une dose sans se poser trop de question. Quand on lui demanda si elle avait de la famille ou quoi, elle avait levé les yeux d’un air ennuyé en se demandant si cet imbécile avait conscience de la merde noire dans laquelle était actuellement la planète. Non, enfin elle partait du principe qu’elle n’en avait plus.

Les deux hommes la plantèrent dans un trou paumé, il s’avéra qu’elle n’était pas la seule survivante dans les parages, donc comme un sage mouton désintéressé elle suivit sagement les deux quidams.
Vous vous attendiez à une vie héroïque ? Regardez ou ça mène l’héroïsme ! Plutôt crever la gueule ouverte que d’aider un gugusse maintenant. Jem poussa un grognement vindicatif contre le brancardier qui entra dans la réserve, la sortant de sa semi-sieste. Elle éternua, repris un chewing-gum et retourna dans ses frigos.

Bien ou bien ? Ben ma foi, j'ai connu pire.
Comment as-tu découvert ce forum ? J'ai vogué de partenaires en partenaires. (et de là j'ai cliqué depuis l'ancien forum.)
Qu’en penses-tu ? Des suggestions ? Ce serait malvenu, tout est clair.
Connexion en moyenne ? 5 à 6 sur 7 jours.
L'origine de votre avatar : The Crew • StudioQube.
Nota Trukmush : Hum, du coup vu que je sais pas si ce genre de métier s'exerce sous certaines conditions sur le forum (moi je l'exerce.) il peut naturellement être changé, du reste vu que je suis une neuneu notable faut pas hésiter a me taper dessus pour que je corrige. (et je suis désolée de poster en cours cette fiche. Vraiment.)